Après une longue minute, je me risquais a ouvrir un oeil pour m'apercevoir que je suis en une seul morceau et que la pièce ou j'ai atterrie est d'une splendeur, d’une élégance et d'une beauté que mes yeux n'ont jamais contemplé.
C'est alors qu'un aigle, se majestueux chasseur des air fie entendre son cri percent et vint se posé sur mon épaule.
- Bonjour, et bienvenue au Bal du monde des rêves. Aucune réalité n'existe ici. Durant la soirée, vous apprendrez à la modifier à votre vouloir. S'il vous faut quelque chose, emplissez votre volonté de l'envie qui vous vient, et votre souhait sera accordé. Cependant, ne vous y fiez pas nécessairement: si votre volonté entre en contradiction avec celle d'une autre personne, elle sera faussée.
Pris d'étonnemant d'entendre cette oiseau me parlé, je continue a l'écouté sans l'intérompre pour ne pas paraitre impolie.
Par exemple, à vouloir embrasser quelqu'un qui vous déteste, vous pourriez embrasser une illusion de cette personne, et non pas la vraie.
Faîtes aussi attention à ce monde si vous avez des secrets à cacher; malgré vous, ils pourraient se révéler à la vue des gens, ou même de votre bouche avant que vous vous en aperceviez.
Sur ce, bon bal. Si vous sentez l'envie d'accéder à une nouvelle salle plus tranquille ou pour quelque autre utilité, rejoignez ce portail là-bas. Notez bien qu'il sera disponible à l'entrée de toute autre personne souhaitant vous rejoindre. La nouvelle salle prendra l'aspect que vous désirez -d'une bibliothèque au plus profond des océans- sans être modifiable par les autres, à moins que ce soit là votre désir. (Chaque lieu étant un "Nouveau sujet" dans la section "Plans des Milles Illusions") Bref, trois portails permanents sont présents dans la pièce: l'un mène à l'extérieur, le second permet l'accès aux salles personnelles de votre choix et le troisième... vers un lieu aussi intéressant.
et, sur ce, l'aigle s'éleva dans la pièce et disparue.
Encore étonné d'avoir entendu un oiseau parlé et pas tres sur d'avoir tout comprie ces propos, je me mie en quête d'un visage famillier.
Quel fut pas ma joie d'apercevoir Eramil assit seul dans un coin lui aussi a l'air de cherché une conaissance dans cette foul de gens.