Le Jardin d'Aglarrana

Calixa entra dans le jardin en criant et brandissant sont épée bien haute au dessu d'elle. L'obget de son malheur était la devant elle... son futur amour, mort...

''Comment oses tu faire une tel chose Delphy, toi qui prône le bien et la fidélité, me trompé avec cette autre femme! Tu l'auras voulu.''

Elle voulu engendrer un vent violent mais se souvins qu'elle était dans le monde d'Aglarrana. Elle ne fit que courir vers l'ange avec rancœur.

Sa rage s'intensifia et continua à avancer à grand pas. Elle savait qu'elle devait faire vite car cette univers n'était pas le siens mais celle D'aglarrana. Elle savait qu'elle pouvait être jeté n'importe quand dans la salle de réception. Mais sa colère lui aveuglais c'est geste, elle aurait voulu rendre la terre en lave et faire brûler tout les arbres maintenant disparue mais l'illusion contrôlait totalement c'est pouvoir ne restant plus que sa force et sa colère.

''Que vos souhaits sois exhaussé madame.''

Elle continuait sa route dangereusement vers cette femme qui, dans quelque instinct, se retrouverais en deux morceau si personne ne réagissait.

*Elle est stupide... ce battre pour cette homme.* Calixa déploya elle aussi ses ailes et fit un bon pour prendre son envol. Elle évita ainsi la femme avec délicatesse et brandit son arme sur l'élue de sa colère.

'' Adieu Delphy...''

La trajectoire de son arme se dirigeait vers son amant à une vitesse fulgurante intensifier par le vol de la démonne.

- Arrêtez ça tout de suite !"

La voix aigue de Galanodel surgit dans le jardin alors que le fée arrivait du portail. Ses vêtements étaient redevenus ceux du bal après qu'elle aie quitté sa salle ("Arène"), mais quoi qu'elle fut dans la salle de quelqu'un d'autre, elle n'eut aucune misère à effacer de la réalité ses vêtements pour les remplacer par une épée à deux mains à sa taille. Elle regarda à tour de rôle Calixa et Aglarrana, prenant compte rapidement de la situation. Réfléchissant avec hâte, elle se lança:

"À qui appartient cette salle ?"

Ne pas paniquer. Elle n'avait jamais été bonne en relations sociales, encore moins en gestion de problèmes. Elle maudit intérieurement de s'être embarquée dans cette histoire... surtout qu'il n'y avait aucun risque pour aucune des deux femmes, ni Delphydius !

Et pourtant, elle s'était déjà engagée, huh. Elle tendit la main vers Calixa. La réalité du lieu se plia à sa consciente: l'aspect de tout le lieu se déforma un moment et, lorsqu'il se restabilisa, la démone ne tenait plus d'arme.

"De toute façon, madame, c'est impossible de tuer qui que ce soit dans le monde. Même votre arme n'est qu'une illusion ici.

Calixa trancha effectivement l'homme devant elle mais rien n'arriva. Quelque seconde plus tard, tout avait disparue, même sont épée... Elle était toujours aussi enragée mais réfléchissait un peux mieux à ces actes.

''Impossible vous dite, dit-elle en criant. Et si je l'étrangle de mes propres mains? Sont-elle illusion elle aussi?''

Regardant autour d'elle, la démone reconnue défaite, défaite par le nombre. Sa voix se radoucie pour laissée place à un ton enivrant.

''J'ai d'autre manière de te faire souffrire Delphydius!''

Elle se pausa devant lui avec grâce, les larmes au yeux. Elle essayais bêtement de les retenir et pour le moment, c'est effort portait fruit.

''J'ai beau être une démone, j'ai un cœur moi aussi.''

Calixa le gifla de toute s'est force. On entendit le claquement résonnée dans toute la pièce avec force.

''Et toi... un visage à frapper.''

Elle repartit ainsi et s'est vêtement, du début de la soirée, se matérialisa sur son corps. La femme traversa le portail avec dignité, la tête haute et le garda devant tout les invités car sa fierté comptait plus que tout au monde.

Galanodel regarda Calixa sans réagir, déjà qu'elle s'y était impliquée avec réticence dès le départ. La bouche a moitié ouverte, elle fixait la démone qui traversa le portail. Elle resta un moment ébahie, fixant le portail comme si elle s'attendait à voir quelque chose en sortir, mais se réveilla bientôt de sa stupeur.

Elle se retourna vers Delphydius, prit un air irrité et, avant de traverser à son tour la sortie, cria:

- Je ne sais pas ce que vous avez fait, mais vous devriez avoir honte !